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Le cadre canadien de la « banque dirigée par les consommateurs », dont le déploiement commencera en 2025, marquera une refonte majeure de la circulation des données financières dans l’économie. Depuis des années, les applications fintech s’appuient sur la technique du « screen scraping », qui consiste à copier les identifiants des clients pour accéder à leurs renseignements. Le nouveau modèle viendra remplacer cette pratique par des interfaces de programmation d’application (

Le nouveau cadre canadien visant une banque axée sur le consommateur pourrait marquer un tournant dans l’histoire de l’innovation financière du pays. Prévu pour entrer en vigueur en 2025, il obligera les grandes banques à participer à un système réglementé, fondé sur une norme unique d’API et supervisé par la Banque du Canada. L’objectif : remplacer la pratique fragile du « screen‑scraping » par un partage de données vérifié et respectueux de la vie privée. Derrière cette réf

Le secteur financier canadien se prépare à une profonde transformation avec l’arrivée de la banque axée sur le consommateur, plus souvent appelée « banque ouverte ». Cette approche passe maintenant de la rédaction de politiques à la mise en œuvre technique. D’ici 2025, un cadre national unique devrait encadrer la manière dont les consommateurs partagent leurs données financières en toute sécurité avec les fournisseurs de services de leur choix. Pour les entreprises, ce modèle

Le budget fédéral de 2025 marque un tournant pour le secteur canadien des technologies financières. Le plan introduit un cadre de services bancaires axés sur le consommateur, destiné à remplacer le patchwork actuel de pratiques de partage de données. En passant du « screen‑scraping » à des interfaces de programmation sécurisées, Ottawa fixe une nouvelle norme : les Canadiens auront désormais le contrôle sur la manière et le moment où leurs données financières sont partagées,